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Chez Comdata, le bonheur se décline au féminin.

Saïda Fikri a rejoint les équipes de Comdata en 2012, au sein du département de Communication. Passionnée, empathique, dégageant une énergie apaisante et positive dans toute situation, le poste de Responsable du Bonheur s’est rapidement révélé comme une évidence pour cette jeune femme dynamique et aux talents multiples.
En effet, dès 2017, Comdata a été précurseur en devenant l’une des premières entreprises au Maroc à créer un poste de Responsable du Bonheur. C’est tout naturellement que le choix s’est porté sur Saïda.
– Au départ, ce poste de Responsable du Bonheur a parfois été qualifié d’artifice marketing, six ans plus tard, pouvez-vous nous parler du bilan général et de l’impact sur vos salariés? Il est vrai qu’à première vue, sans avoir vécu l’expérience concrète et directe, l’on peut penser qu’un tel poste affiche des objectifs si ambitieux qu’ils semblent inaccessibles. Mais, l’essayer c’est l’adopter! Grâce à la volonté d’innovation et aux moyens alloués par Comdata Maroc, nos actions sont bien concrètes.

Elles se déclinent sous de multiples formes, allant de l’animation plateau et création d’ateliers ludiques ou éducatifs, aux projets d’innovations sociales touchant l’ensemble des collaborateurs.
Les impacts de cette ambiance positive sur le collectif sont tangibles, régulièrement constatés par nos chiffres et nos réussites sur les benchmark, autant que sur l’obtention decertifications telles que le label RSE ou le Label Best Place to Work Maroc et Afriqueremportés depuis 5 années consécutives.

Malgré l’ampleur toujours croissante de notre entreprise, le pôle Happiness renforce laconfiance de nos collaborateurs dans la qualité d’écoute qui leur est dédiée au quotidien.Loin d’être un poste “marketing”, cette fonction de C.H.O. a su, depuis 2017 faire la différence. Le gain en efficacité est palpable et régulièrement mesuré. Nous sommes d’ailleurs fiers de constater que nous faisons de plus en plus d’émules au sein des grosses entreprises, qui ont ou envisagent sérieusement de créer des postes similaires chez eux. Souhaitons que cette pratique bénéfique à tous se généralise au plus vite : mon credo est et restera toujours “Tout le monde a le droit et peut être heureux au
travail!”. Nous partageons d’ailleurs avec beaucoup de plaisir nos recettes à tous ceux qui nous en font la demande.

– Mettre le bonheur de 7500 collaborateurs entre les mains d’une seule femme, était-ce un pari risqué? Au contraire! Les femmes, à mon avis, possèdent des qualités essentielles d’écoute, d’analyse et d’inventivité qui permettent de mener à bien les missions d’un CHO.
Être capable de prendre le pouls et de comprendre tout en finesse les besoins immédiats ou  sur le long terme de tous nos collaborateurs, puis savoir traduire ces enjeux en actions concrètes et bénéfiques exige une excellente connaissance de l’environnement de travail et
surtout une sensibilité exacerbée à l’humain.
Je tiens à préciser que je travaille aujourd’hui avec une équipe entièrement féminine constituée de 2 Happiness Partners, et en étroite collaboration avec le pôle Communication.
– “Bonheur et Bien-Être”, n’est-ce pas finalement de l’Innovation Sociale ? Tout d’abord, précisons les notions très proches de “Bonheur” et de “Bien-être” qui sont à la fois très liées mais bien distinctes. Pour simplifier, je dirai que le bien-être s’appuie sur des facteurs concrets et ajustables de qualité de vie : un environnement de travail agréable et performant, un management transparent et précis mais basé sur la bienveillance et l’écoute, un quotidien dynamique et stimulant.

Le bonheur au travail dépend, lui, de la subjectivité des collaborateurs. Le rôle du C.H.O prend alors toute son ampleur, en sachant proposer des programmes adaptés aux besoins des salariés, prenant en compte l’épanouissement individuel et l’optimisation des capacités
cognitives de chacun.
L’innovation Sociale est in fine un des moyens majeurs à notre disposition pour atteindre nos objectifs de bonheur et de bien-être, soutenus par la Direction. Une des premières innovations, par exemple, a été d’offrir un Congé Parental aux jeunes papas de notre
entreprise. L’équilibre entre vie privée et vie professionnelle est en effet au cœur de nos préoccupations.
Au lieu d’adopter une posture corrective centrée sur la prévention des risques psychosociaux, nous avons choisi une posture résolument pro-active et positive centrée sur l’épanouissement individuel de chacun.

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